Bus

Publié le par Justine Bvs

Bus

En Russie, en plus du réseau de bus "traditionnels", le transport est assuré par des minibus, les marchroutkas. Ce sont eux qu'on prend le plus, car ils couvrent toute la ville et sont plutôt rapides.

Principal problème : Prendre le bon et s'arrêter au bon endroit.

Oui parce que n'imaginez pas que les noms des arrêts sont écrits sur les abribus ou annoncés au micro. Si vous ne connaissez pas l'endroit ou vous voulez aller, que vous êtes trop timide pour demander votre route au chauffeur, ou que vous ne parlez pas russe du tout, prenez une carte et marchez.

Autour de ma rue, il y a cinq ou six arrêts différents, sans compter ceux déplacés par les travaux. Le premier bus que j'ai voulu prendre n'était pas matérialisé, pas de panneau, pas de marquage au sol, rien. Il faut se poster là on juge qu'il pourra s'arrêter sans gêner la circulation, et espérer qu'il vous prenne quand vous lui ferez signe.

Ne faîtes pas comme moi, de nuit ne comptez pas vos repères visuels pour demander l'arrêt. Vous avez toutes les chances de les louper (surtout que ces foutus minibus ont des vitres minuscules). Pour ma part, je me suis retrouvée au terminus, loin de la maison. Il était tard, donc le nombre de possibilités pour ne pas rentrer à pied était réduit. Par chance, le chauffeur (qui n'avait certainement pas que ça à faire) m'a proposé d'attendre avec moi à l'arrêt. Je suis rentrée sans trop d'encombres (si on oublie la panne d'ascenseur et la clé coincée... best soirée ever).

Bonus : on s'éclate en marchroutkas.

Photo prise ici

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